Maxime Kaci, maître de conférences en histoire contemporaine, bénéficie du soutien de l’Institut universitaire de France (IUF), dont il est devenu membre junior en septembre 2021, avec un projet intitulé « Des marges au centre de l’Europe : sociétés de frontière, recompositions géopolitiques et constructions nationales (1648-1871) ».
Maxime Kaci est responsable scientifique de l’action « Frontières – Les changements de nature des délimitations territoriales et leurs effets sur l’organisation des sociétés en Europe » au sein du pôle 1 « Dynamiques territoriales » depuis 2014, et a été accueilli à la MSHE en délégation CNRS pendant un an à partir de septembre 2018. Ces travaux ont contribué à la reconnaissance accordée par l’IUF.
Résumé du projet :
Les débats actuels sur les transformations fonctionnelles des frontières en Europe invitent à repenser le récit stato-centré de l’affirmation des États-nations et de leur dilution. Des traités de Westphalie à la guerre de 1870, les prises de position d’acteurs locaux qui provoquent ou contestent les changements frontaliers, en France et dans de « petites » souverainetés voisines, révèlent des appartenances emboîtées et ouvrent la voie à une histoire transnationale de la « dorsale européenne ».
Page membre de l'IUF de Maxime Kaci
Article associé :
Maxime Kaci accueilli en délégation CNRS à la MSHE
Maxime Kaci est responsable scientifique de l’action « Frontières – Les changements de nature des délimitations territoriales et leurs effets sur l’organisation des sociétés en Europe » au sein du pôle 1 « Dynamiques territoriales » depuis 2014, et a été accueilli à la MSHE en délégation CNRS pendant un an à partir de septembre 2018. Ces travaux ont contribué à la reconnaissance accordée par l’IUF.
Résumé du projet :
Les débats actuels sur les transformations fonctionnelles des frontières en Europe invitent à repenser le récit stato-centré de l’affirmation des États-nations et de leur dilution. Des traités de Westphalie à la guerre de 1870, les prises de position d’acteurs locaux qui provoquent ou contestent les changements frontaliers, en France et dans de « petites » souverainetés voisines, révèlent des appartenances emboîtées et ouvrent la voie à une histoire transnationale de la « dorsale européenne ».
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Maxime Kaci accueilli en délégation CNRS à la MSHE